L’histoire d’une brasserie Parisienne née en 2020. Brasserie Rosie ouvre ses portes dans un contexte radicalement différent de ses ainées plus que centenaires, à une époque où Paris voit passer des modes culinaires différentes tous les ans et où les institutions historiques peinent à attirer les jeunes.
Elle s’est donné comme mission de changer le regard qu’ont les Parisiens sur la brasserie, en travaillant avec le plus de sincérité et de conviction pour faire redécouvrir un patrimoine culinaire passé aux oubliettes.
Avant tout, l’équipe de Rosie place la qualité au centre de son activité :
La qualité des matières premières : Juliette & Kevin travaillent en direct avec plus de 130 producteurs à travers la France.
La qualité de la cuisine : formés dans des maisons étoilées, Eloi le chef et Yohan le chef pâtisssier préparent une cuisine sans chichis mais 100% fait maison, mettant à l’honneur l’artisanat.
La qualité du service : Rosie a fait le choix de ne pas prendre de garçon de café parisien, mais de miser sur une équipe en salle souriante, attentionnée et focalisée sur le bien être du client.
La promesse d’un rapport qualité-prix imbattable, en achetant en direct au producteurs et cuisinant tout sur place, en passant par la charcuterie jusqu’à la pâte feuilletée. Rosie propose une entrée suivie d’un plat et enfin d’un dessert pour 20 €, non seulement le midi mais également le soir et les week-ends. Les prix doivent rester accessibles afin de permettre à tout le monde de passer un bon moment en dégustant une cuisine gourmande et de saison.
La décoration et l’ambiance confortables, les banquettes (en rangée et en compartiments), les chambres privées permettent aux clients de passer des moments conviviaux, où l’on a envie de se sentir chez soi.
Deux amis et inséparables collègues : Juliette Cerdan (30 ans), née à Toulouse, fille de parents pieds noirs, elle a grandi et a fait ses études en école de commerce à Paris. Après une première expérience dans des bars à vins, où elle se passionne pour l’oenologie et la vinification, elle rejoint une aventure entrepreneuriale dans la restauration montée par Victor Lugger et Tigrane Seydoux dans le sud de la France le temps d’un été (les prémices de Big Mamma). Elle entame une courte carrière en banque d’affaires mais se rend compte qu’elle n’est pas dans son élément et décide de revenir à ses premières amours, la restauration. Elle retrouve ses anciens patrons et revient chez Big Mamma, en qualité de directrice des achats, et elle ouvre avec eux 5 restaurants.
Infos sur le pedigree de Juliette : fan depuis son adolescence de Jamie Oliver, et a toujours rêvé de devenir pâtissière.
Kevin Caradeuc (26 ans), né à Paris, fils d’une mère italienne et d’un père breton, a également fait ses études en région parisienne. Souhaitant développer une activité d’importation de produits italiens en France à la sortie de ses études, il postule au sein d’un restaurant qui venait d’ouvrir, East Mamma, en tant qu’assistant du chef Exécutif. L’expérience est tellement forte qu’il abandonne son idée et reste deux
ans au sein du groupe et devient responsable de l’offre culinaire pour le groupe et travaille main dans la main avec Juliette lors des différentes ouvertures.
Infos sur le pedigree de Kevin : mange au minimum 5 fois par semaine des pâtes depuis sa naissance, aimerait servir de la galette saucisse aux Parisiens.
130 producteurs à travers la France : Dès le début du projet, Juliette et Kevin sont convaincus que pour renouer avec l’essence même de la brasserie, il faut servir des produits de la plus haute qualité, et dont on connait l’origine et le travail qui se cachent derrière. Pour ce faire, il leur a fallu être capables de s’affranchir du marché de Rungis et de monter une chaîne logistique avec des points relais à travers le pays (Bretagne, Normandie, Cantal,
Pays Basque, Bourgogne). Avant même de penser aux plats qui seront servis dans leur futur restaurant, ils décident de partir à la rencontre de ceux qui nourrissent la France. S’ensuit un voyage de plus de 10 000 km au cours duquel ils font la connaissance d’éleveurs, agriculteurs, vignerons, pêcheurs, ostréiculteurs, marayeurs, abbatoirs, cueilleurs. Après plusieurs mois de balades, les deux amis ont sélectionné plus de 130 producteurs et éleveurs, avec lesquels ils travaillent aujourd’hui.
Chez Rosie, tout est fait maison et de saison ! : Le jeune chef de cuisine Eloi Spinnler (25 ans), formé chez Ducasse, fait partie de la nouvelle génération résolument décidée à travailler des produits de saison, tout faire maison, et lutter contre le gaspillage. Le projet de Brasserie Rosie s’est donc imposé à lui comme une évidence. Aussi Eloi a-t-il constitué une brigade du tonnerre de plus de 15 cuisiniers, réunissant des artisans du goût : Un charcutier, Lilian Bard, formé à la Maison Vérot et un chef pâtissier, Yohan David. Ce dernier, ancien chef pâtissier du Clarence, est aux manettes pour proposer l’offre la plus gourmande possible et reprendre les grands classiques français.
Une déco signée John Whelan : Situé derrière Bastille, le quartier du Faubourg Saint-Antoine, pôle historique de l’artisanat à Paris, renommé pour la menuiserie, marquetterie, ameublements et luminaires, a inspiré le décorateur John Whelan. John, un Anglais féru d’histoire et de brasserie (qui a décoré le Bouillon Julien et la Brasserie Floderer à Paris X, la Brasserie Excelsior à Nancy…), s’est inspiré de l’histoire de la rue pour penser ce lieu (un ancien pub irlandais), comme un trait d’union entre le passé et le présent.
La Brasserie Rosie c’est une expérience entre le restaurant et l’atelier, où l’on rentre par un showroom lumineux avec un bar en bois sur lequel est posé un comptoir en marbre rose, puis on change de salle et on arrive dans l’atelier, où 45 lustres en réparation sont suspendus, où des éléments en stuc sont exposés au-dessus des banquettes. L’étage, le summum du kitsch, ambiance chez mamie, papier peint avec des fleurs aux murs, meubles chinés, photos de famille, on est dans les appartements de l’artisan où l’on a envie de rester dans les salons qui nous transportent à une autre époque.
Brasserie Rosie : 53, rue du Faubourg Saint-Antoine – 75011 Paris (Métro Bastille (Ligne 1)
Ouvert 7/7 midi et soir :
- Du lundi au vendredi de 12h15 à 14h30 et de 19h15 à 22h45
- Du samedi au dimanche de 12h15 à 15h00 et de 19h15 à 23h00
200 places assises, 3 salons privatisables à l’étage (2 salons de 10 personnes et 1 salon de 20 personnes) - Téléphone : 07 49 19 19 62. Source : Bureau
de presse Pascale Venot Paris.